C’est le moment de franchir une nouvelle étape dans votre vie de parent : l’inscription en crèche d’un enfant symbolise vos premières séparations, mais aussi l’opportunité pour vous de trouver un équilibre optimal entre vie professionnelle et vie familiale. Pour bébé, c’est aussi une occasion de s’éveiller différemment, se sociabiliser et continuer de grandir à son rythme. Avant cette inscription, vous en êtes encore au stade des interrogations ? Vous n’avez pas la certitude d’opter pour la crèche ? Vous vous questionnez que les critères à investiguer pour choisir le meilleur établissement possible ? Nous vous présentons les principaux conseils incontournables pour inscrire et laisser bébé à la crèche en toute tranquillité.
Avant l’inscription en crèche, explorer les différents modes de garde
La crèche peut être une option intéressante, mais elle n’est pas forcément la seule alternative. Face à toutes les solutions qui se présentent à vous, jugez à chaque fois le degré de praticité en fonction de l’emplacement, des horaires ou encore du mode de fonctionnement d’une manière générale.
Jugez à chaque fois le degré de praticité en fonction de l’emplacement, des horaires ou encore du mode de fonctionnement d’une manière générale.
Renseignez-vous dans votre entreprise (et celle de votre conjoint.e) pour savoir s’il n’y a pas de crèche à disposition : cela peut constituer une option à la fois avantageuse et pratique. Vous pouvez aussi envisager de faire appel à une nounou. Et dans cette idée, deux alternatives sont encore possibles et méritent réflexion : laisser bébé chez la nounou, ou demander à faire venir quelqu’un à votre domicile.
Bien choisir sa crèche : les critères à prendre en considération
L’emplacement de la crèche, si vous décidez finalement de choisir cette option, est primordial. Celle-ci doit être accessible aussi bien depuis votre domicile que votre lieu de travail. Si votre conjoint.e dépose ou vient chercher bébé une à plusieurs fois par semaine, il peut être pertinent de trouver un établissement idéalement placé, entre votre domicile et vos deux lieux de travail.
L’amplitude horaire constitue un autre élément à prendre en considération. La crèche doit ouvrir assez tôt pour que vous y déposiez votre enfant avant le travail, et fermer après la fin de votre journée. Si vous travaillez les week-ends, cela peut compliquer vos recherches : anticipez davantage !
Au-delà de l’hygiène qui reste incontournable, intéressez-vous aux programmes des journées et aux installations en place. Que fait-on pour occuper et éveiller les enfants ? Les conditions pour la sieste sont-elles optimales ? Quel type d’activité sensorielle propose-t-on ? Ce critère peut aussi faire la différence.
La préinscription à la crèche, à faire le plus rapidement possible
En général, il est indispensable de préinscrire son enfant à la crèche pour pouvoir réaliser une première visite. Il ne faut donc pas trop traîner pour réaliser les démarches. Veillez à compléter votre dossier de manière rigoureuse, car l’oubli d’une information ou d’un document peut retarder votre prise en charge et vous mettre en difficulté.
L’oubli d’une information ou d’un document peut retarder votre prise en charge et vous mettre en difficulté.
La visite de la crèche : les questions à poser
Avant l’inscription à la crèche, vous visitez logiquement l’établissement. C’est le moment idéal pour vous immerger dans le quotidien de votre bébé s’il était amené à passer ses journées ici. Parmi les questions intéressantes à poser, renseignez-vous sur les aspects suivants : nombre d’enfants et d’encadrants, précautions qui peuvent être prises en cas d’allergie alimentaire, politiques en cas d’enfant malade, menus, origine des plats ou encore horaires.
Quelles aides pour financer l’inscription en crèche de mon enfant ?
Vous pouvez bénéficier des CSA (chèques services) pour alléger vos dépenses liées à la garde de votre enfant. Pour cela, vous devez faire le choix d’une structure reconnue et réaliser votre demande. Les conditions d’attribution ne sont pas les mêmes pour les résidents et les non-résidents. Si vous ne résidez pas sur le territoire, vous devez être affilié au centre commun de la sécurité sociale ou travailler pour une institution européenne, et votre enfant doit bénéficier d’une allocation familiale au Luxembourg.